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villiers president en 2007,

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15 avril 2006

Horloge en Flash

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23 mars 2006

Philippe de Villiers soutient avec vigueur l’action des forces de l’ordre.

mercredi 15 mars 2006

Philippe de Villiers demande à Nicolas Sarkozy de mettre fin à son double jeu permanent : fermeté dans les paroles, laxisme dans les actes.

Plusieurs syndicats policiers ont en effet affirmé avoir reçu des « consignes de souplesse » de la part du Ministre de l’Intérieur, face aux jeunes casseurs responsables des violences lors des affrontements survenus ces derniers jours près des universités.

Le double discours systématique de Nicolas Sarkozy est dangereux : il faut qu’il arrête de penser à la présidentielle et à son image, mais qu’il se mette enfin à penser à la France.

Philippe de Villiers soutient avec vigueur l’action des forces de l’ordre face aux casseurs et demande au Ministre de l’Intérieur la plus grande fermeté face aux fauteurs de trouble.

23 mars 2006

Jean Baptiste DOAT, coordinateur national des

Jean Baptiste DOAT, coordinateur national des Jeunes Pour la France (MPF) est scandalisé par la façon dont le Ministre de l’Intérieur se sert des émeutes qui terminent chaque cortège anti-CPE.

En effet chaque jour, le Ministre de l’Intérieur laisse une poignée d’anarchistes et de jeunes de banlieues insulter et agresser avec une violence grandissante les forces de l’ordre.
L’Etat est chaque soir bafoué, caillassé, par les émeutiers et Nicolas Sarkozy fait preuve d’un laxisme scandaleux.

Les Jeunes Pour la France rendent hommage aux nombreux policiers et gendarmes blessés depuis le début des violences et demande au Ministre de l’Intérieur de cesser de jouer son intérêt personnel en laissant « pourrir la situation ». Le Ministre de l’Intérieur devrait s’inspirer du courage des forces de l’ordre.

17 mars 2006

C P E suite ...La manif ideal

cpe_manifs

17 mars 2006

le saviez vous.... mes petites pieces jaunes...aie,aie,aie

A VOTRE BON COEUR MESSIEURS-DAMES

Bernadette Chirac est venue à Montélimar faire son cinéma pour

récolter ses pièces jaunes.

200 kg de pièces ont été recueillies (correspondant à environ 10 000

euros)

J´ai interrogé M. le Maire ( UMP ) de la ville pour savoir combien cette

opération nous avait coûté.

Sans compter le prix de l´affrètement du TGV spécial,du détournement de

plusieurs trains sur l´Ardèche, le coût du personnel des services

techniques et de la police municipale

etc, la ville a déboursé 80000( pris sur nos impôts locaux, bien sûr ).

Mais, plus choquant encore, les chambres et repas, dans un des meilleurs

hôtels-restaurants de le région, pour« la première dame de France » et

son

aréopage de 130 personnes

ont été réglés avec un chèque de l´association « Opération Pièces Jaunes

».

Quand on pense à tous les petits enfants qui ont cassé leur tirelire

pour

faire de la publicité à Mme Chirac, au Maire de Montélimar et payer ces

agapes !

Certains n´ont pas beaucoup de vergogne.

Ce mercredi 8 mars 2006

Marcel MAGNON, Conseiller Municipal de Montélimar

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16 mars 2006

C P E

Philippe de Villiers soutient avec vigueur l’action des forces de l’ordre.


Philippe de Villiers demande à Nicolas Sarkozy de mettre fin à son double jeu permanent : fermeté dans les paroles, laxisme dans les actes.

Plusieurs syndicats policiers ont en effet affirmé avoir reçu des « consignes de souplesse » de la part du Ministre de l’Intérieur, face aux jeunes casseurs responsables des violences lors des affrontements survenus ces derniers jours près des universités.

Le double discours systématique de Nicolas Sarkozy est dangereux : il faut qu’il arrête de penser à la présidentielle et à son image, mais qu’il se mette enfin à penser à la France.

Philippe de Villiers soutient avec vigueur l’action des forces de l’ordre face aux casseurs et demande au Ministre de l’Intérieur la plus grande fermeté face aux fauteurs de trouble

14 mars 2006

Jean Baptiste DOAT, coordinateur national des

Jean Baptiste DOAT, coordinateur national des Jeunes Pour la France, s'insurge contre la parodie d'insurrection soixanthuitarde qui viole la liberté d'un grand nombre de jeunes qui veulent étudier.
Le CPE n'est certes pas la solution que les Français attendent pour régler le problème dramatique du chômage. Cependant, comme le dit justement Philippe de Villiers, "mieux vaut un emploi précaire que pas d'emploi du tout."
Quoi qu'il en soit les revendications douteuses des groupuscules qui animent ce pseudo mouvement de colère laisse songeur.
Ainsi sur un tract distribué à Paris, les étudiants réclament "l'amnistie pour les émeutiers de novembre"… À Bordeaux, les fauteurs de troubles ont rebaptisé un amphi du non d'une terroriste d'action directe… Autre esbroufe : le meneur de la grève à Nanterre est un jeune de 27 ans ce qui nous fait penser qu'il n'est pas pressé d'affronter le monde du travail…

Autant d'indices qui nous font douter du caractère spontané de ce mouvement.

Les Jeunes Pour la France réclament le rétablissement de l'ordre dans les Facultés, les étudiants doivent pouvoir préparer leurs examens en toute liberté.

14 mars 2006

COMMUNIQUE DE PRESSE DE PHILIPPE DE VILLIERS Sur

COMMUNIQUE DE PRESSE DE PHILIPPE DE VILLIERS

Sur le CPE, Philippe de Villiers déplore les manipulations et les intimidations d’extrême gauche.

Il est inacceptable que 300 « pseudo-étudiants » aient bloqué 26000 étudiants à la Sorbonne comme il est anti-démocratique que plus de 25 facs soient bloquées aujourd’hui alors même q’une majorité d’étudiants souhaitent assister aux cours et préparer leurs examens.

Philippe de Villiers demande qu’un référendum à bulletin secret sur le blocus soit organisé auprès des étudiants par les Présidents d’Universités sur tous les campus.

13 mars 2006

Horloge en Flash

12 mars 2006

Villiers : "La nouvelle directive Bolkestein

Villiers : "La nouvelle directive Bolkestein est un mensonge"
Article paru dans Le Figaro le 16 février 2006

Le Figaro.- Le projet de directive Bolkestein, largement remanié par les députés européens, ne trouve toujours pas grâce à vos yeux. Pourquoi ?

Philippe de Villiers.- Nous sommes devant un mensonge, car on voudrait nous faire croire que la directive est vidée de sa substance. Rien n'est plus faux : le texte applique toujours le principe de la liberté totale des prestations de service. C'est aussi un scandale, car les promoteurs du oui au référendum avaient répété pendant la campagne du printemps dernier : "La directive Bolkestein est morte et enterrée". Or, aujourd'hui, cette directive, sortie par la grande porte du suffrage universel, revient par la fenêtre du Parlement européen. C'est un déni de démocratie.

Le Figaro.- Le principe du pays d'origine, qui avait déclenché la polémique, est pourtant abandonné...

Philippe de Villiers.- Pour les salariés oui, mais pas pour les travailleurs indépendants. Le plombier polonais ne pourra plus être salarié chez nous tout en restant soumis au droit social polonais. En revanche, il pourra exercer en qualité d'artisan et appliquer les tarifs et les règles sociales de son pays d'origine. Le phénomène se constate déjà dans le BTP. Prenez l'affaire de la centrale EDF de Porcheville, dans les Yvelines. Quarante ouvriers polonais travaillent 44 heures par semaine à la remise en état de ce générateur et ils sont payés 400 euros par mois ! La directive Bolkestein va accentuer de façon dramatique cette concurrence inégale. Dans sa mouture initiale, la directive menaçait 5 000 professions de dumping social. Dans sa version actuelle, 4 000 professions restent visées. On conduit nos professions libérales - artisans, architectes, ingénieurs conseils, etc. -, nos ouvriers et nos PME à l'abattoir. Pour tout arranger, la Cour de justice européenne reste très attachée au principe du pays d'origine, qu'elle a inventé au fil de ses arrêts. Elle se fera un devoir de le rétablir sans entrave à la première occasion.

Le Figaro.- Si l'on vous écoute, l'Europe irait systématiquement contre l'intérêt de la France...

Philippe de Villiers.- L'Europe du traité de Rome a été une chance pour la France, mais elle est morte. Maastricht, en 1992, a marqué un double renversement : la coopération entre Etats a été abandonnée au profit de l'intégration, et la préférence communautaire au profit du mondialisme. Depuis 1992, Bruxelles ne nous apporte plus aucune vertu pour corriger nos vices. Elle les aggrave. La seule politique économique raisonnable est la suivante : à l'extérieur, protéger, à l'intérieur, libérer. La concurrence inégale et l'asphyxie par les impôts et charges sont les deux faces d'une même crise. Le socialisme à la française et le mondialisme bruxellois cumulent leurs effets dévastateurs.

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